La Formule 1 a toujours été considérée comme la catégorie des courses automobiles sur le terrain, car elle est l’une des compétitions de course automobile les plus prestigieuses au monde, également en raison de son caractère avant-gardiste. Vous avez sûrement vu des voitures, mais savez-vous comment fonctionne vraiment la Formule 1 ?
Les moteurs électriques
Depuis 2014, après de profondes réformes de la Fédération internationale de l’automobile (FIA), le moteur d’une F1 est devenu plus complexe. Les hélices actuelles sont des moteurs hybrides turbocompressés alimentés par un réservoir de 1600 cm3 et se composent de plusieurs pièces. Un moteur à combustion à essence avec un turbocompresseur. Le propulseur utilise de l’essence ordinaire, ainsi que des boucliers et incorpore des additifs pour augmenter son énergie de combustion jusqu’à 102 octanes. Chaque mélange de carburant doit être approuvé par la FIA avant de pouvoir être utilisé. Le moteur d’une F1 est capable de générer une puissance minimale de 800 ch., 600 correspondants au moteur thermique et 200 au moteur électrique. L’équipe Mercedes, vainqueur du championnat du monde 2016, assume une puissance de 900 à 950 ch et aspire à délivrer 1000 ch lorsque le moteur électrique sera perfectionné.
L’aérodynamique
L’aérodynamique d’un boulon de chenille poursuit les objectifs suivants : créez une force d’appui, la force vers le bas (appelée charge aérodynamique). Quiconque obtient la charge aérodynamique doit prendre l’autocar, augmentant son adhérence. Les équipes retrouvent la charge aérodynamique sur le circuit. Par exemple, sur les circuits où la vitesse n’est pas importante, ils utilisent beaucoup de charges aérodynamiques, tandis que sur les circuits de vitesse, comme Monza, ils utilisent un peu de charges. Son deuxième objectif est de générer un flux d’air, une circulation d’air. Les ingénieurs essaient de rendre l’autocar moins résistant à l’air éventuel. Cela permet à l’entraîneur de freiner moins contre la résistance de l’air et peut atteindre des vitesses plus élevées. Le principe est le même que l’utilisation des avions de combat.
Les freins à disque en céramique
La F1 utilise des freins à disque en céramique. Son fonctionnement est le même que celui des voitures dans la rue. En appuyant sur la pédale de frein, les mâchoires de pinzan sur le disque réduisent la vitesse de l’entraîneur par frottement. En F1, les potentiels de freinage sont tels que les disques pourront se propager au rouge vif, atteignant des températures jusqu’à 800º. Dans les fossés tressés, 6,5 g de stock peuvent être atteints (6,5 fois la gravité). La suspension d’une F1, en forme de V, dans les roues de l’autocar et le châssis inséré dans des amortisseurs.
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